La thérapie cognitivo-comportementale, ou TCC, est surévaluée.
Beaucoup d’entre nous ressentent les effets de la dépression sur plusieurs niveaux : émotionnel, social, physique et/ou mental. On ressent un manque d’énergie sur le plan physique; nos émotions sont accablantes ou émoussées; ou on peut avoir du mal à trouver les mots justes.
Et parfois, notre plus gros problème, c’est qu’on regarde le monde d’une manière peu utile sans le vouloir.
Quelle grande part du casse-tête est-ce dernier point pour vous? Peut-être importante, mais probablement pas la racine de tous vos symptômes. C’est là le problème de traiter la TCC comme le saint Graal, une approche miracle contre la dépression :
Parce que différentes parties du repas joyeux de la dépression ont différentes causes, elles fonctionnent par différents mécanismes et ont différentes solutions. Alors que la TCC s’attaque aux biais cognitifs souvent associés à la dépression, elle néglige ou même peut aggraver les autres aspects. Il vaut la peine de considérer l’histoire complète avant de mettre tous vos œufs dans le panier comportemental cognitif.
Au milieu du battage médiatique entourant la thérapie cognitivo-comportementale, les chercheurs ont décidé d’étudier si son utilisation comporte des risques. Les résultats ont été surprenants et éclairants : oui, la TCC peut causer des effets secondaires indésirables.
Parce que différentes parties du repas joyeux de la dépression ont différentes causes, elles ont différentes solutions.
Puisque l’étude portait sur la TCC, une forme de psychothérapie, elle a utilisé une grille d’évaluation spécialisée pour mesurer les effets secondaires – différente de la manière dont vous les mesureriez pour un médicament sur ordonnance, par exemple.
Les chercheurs ont découvert que sur tous les patients étudiés, près de la moitié (43 %) ont terminé une thérapie comportementale cognitive avec au moins un effet secondaire indésirable — plus que les 38 % de personnes ressentant des effets secondaires avec les antidépresseurs SSRI.
Pour référence, seulement 25 % des effets secondaires des SSRI sont considérés comme ‘gênants’ ou ‘très gênants’. Comparez cela à la TCC : 40 % des effets secondaires chez les patients de TCC sont considérés comme ‘graves’ ou ‘très graves’. Plus choquant encore, ceux qui ont expérimenté des effets secondaires de la TCC ont fait face à presque 4 effets distincts, en moyenne.
Les effets indésirables rapportés de la thérapie comportementale cognitive vont de légers à ‘très graves’. Voici une liste que les chercheurs ont compilée à partir des rapports des patients :
“40 % des effets secondaires chez les patients de TCC sont considérés comme ‘graves’ ou ‘très graves’.”
Chaque méthode thérapeutique a ses risques et inconvénients. Cependant, ces effets secondaires potentiellement problématiques devraient nous donner à tous matière à réflexion lors du choix de notre manière de guérir de la dépression.
De plus, ces effets devraient encourager ceux qui s’intéressent à la TCC à l’essayer dans un environnement sûr, de préférence en personne et avec quelqu’un avec qui vous vous identifiez (cela peut signifier de chercher un bon prestataire).
La TCC est véritablement un outil utile dans la lutte contre la dépression. Mais alors que les nouvelles et même les experts peuvent vous faire croire que c’est un remède miracle, c’est comme tout outil — il a ses inconvénients.
Surtout avec le potentiel d’effets secondaires difficiles, la TCC ne devrait pas être présentée comme la solution ultime pour la dépression. Étant donné le potentiel d’effets secondaires difficiles, nous devrions être prudents lors du début du processus – surtout dans des environnements moins contrôlés avec des fournisseurs moins fiables, comme avec les services de TCC en ligne.
Si vous êtes sur le point de commencer le processus de TCC (ce que nous ne décourageons pas), assurez-vous au moins d’avoir le soutien nécessaire pour traverser les moments difficiles et les négatifs inattendus. Supportiv est accessible 24/7, où quelqu’un sera toujours là pour comprendre et écouter. Pas de jugement (ni d’effets secondaires) ici.
La thérapie cognitivo-comportementale, ou TCC, est surévaluée.
Beaucoup d’entre nous ressentent les effets de la dépression sur plusieurs niveaux : émotionnel, social, physique et/ou mental. On ressent un manque d’énergie sur le plan physique; nos émotions sont accablantes ou émoussées; ou on peut avoir de la difficulté à trouver les mots justes.
Et parfois, notre plus gros problème, c’est qu’on regarde le monde d’une manière peu utile sans le vouloir.
Quelle grande part du casse-tête est-ce pour vous? Peut-être importante, mais probablement pas la racine de tous vos symptômes. C’est là le problème de traiter la TCC comme le saint Graal, une approche miracle contre la dépression :
Parce que différentes parties du combo dépression ont différentes causes, elles fonctionnent selon différents mécanismes et ont différentes solutions. Alors que la TCC s’attaque aux biais cognitifs souvent associés à la dépression, elle néglige ou même peut aggraver les autres aspects. Ça vaut la peine de considérer toute l’histoire avant de mettre tous vos œufs dans le panier comportemental cognitif.
Au milieu de l’engouement pour la Thérapie Cognitivo-Comportementale, des chercheurs ont décidé d’étudier si son utilisation comportait des risques. Les résultats furent surprenants et révélateurs : oui, la TCC peut causerdes effets secondaires indésirables.
Parce que différentes parties du ‘happy meal’ de la dépression ont différentes causes, elles nécessitent différentes solutions.
Puisque l’étude portait sur la TCC, une forme de psychothérapie, elle a utilisé une grille d’évaluation spécialisée pour mesurer les effets secondaires – différente de celle utilisée pour un médicament sur ordonnance, par exemple.
Les chercheurs ont trouvé que parmi tous les patients étudiés, près de la moitié (43 %) ont quitté la thérapie cognitivo-comportementale avec au moins un effet secondaire indésirable — plus que les 38 % de personnes expérimentant des effets secondaires avec les antidépresseurs SSRI.
Pour référence, seulement 25 % des effets secondaires des SSRI sont considérés comme ‘gênants’ ou ‘très gênants’. Comparez cela à la TCC : 40 % des effets secondaires chez les patients de la TCC sont considérés comme ‘graves’ ou ‘très graves’. Plus choquant encore, ceux qui ont expérimenté des effets secondaires de la TCC ont fait face à presque 4 effets distincts, en moyenne.
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